jeudi, 12 mars 2009
Fermeture
Le 10 novembre 2006, j’ai créé ce lieu pour tenter de parler sérieusement de Léo Ferré sur la Toile. Quelques « invités du taulier », que je remercie encore, m’ont aidé à le faire vivre, mais je n’ai pu obtenir de textes de différentes personnes, sollicitées à plusieurs reprises afin de renouveler les plumes et les points de vue. Aujourd’hui, cela prend fin. Je ne peux continuer seul la tenue d’un blog à la fois spécialisé et encyclopédique qui, certaines conversations l’ont montré, ne satisfait réellement personne. J’aurai au moins essayé. Il se trouve que, paradoxalement, mon activité sur la Toile attire encore moins de lecteurs que mes publications en librairie, lesquelles n’en retiennent pourtant pas beaucoup. La moyenne des visites journalières n’a jamais atteint la centaine. Il est donc indiqué de fermer la porte : ce petit cabaret aura vécu le temps d’imaginer qu’il pouvait vivre et de me forcer à y croire. Il y aura certainement de nouvelles aventures sur internet, elles seront vécues par d’autres.
Je me suis efforcé d’écrire les articles dans une langue accessible, simple, et cependant rédigée le moins mal possible. Cela n’a certes pas été toujours réussi. Je suis venu lire les commentaires et y répondre, chaque jour, au moins cinquante fois, certainement davantage, parfois. J’ai en effet toujours imaginé que c’était mon rôle, afin que ce soit un lieu et non un simple blog. C’est pourquoi j’ai créé cette imagerie devenue, je pense, familière aux lecteurs, de « taulier », d’« invités du taulier », de « prix des consommations », de « cabaret ». Afin qu’un petit univers se dessine, non pour le folklore mais pour aboutir à un contexte un brin original qui, naturellement, n’efface pas le propos initial. J’espère n’avoir pas été trop indigne.
Je laisse en ligne, je n’ose pas écrire un corpus, ce serait prétentieux – disons une petite « bibliothèque » de deux-cents notes, parfois suivies de discussions. Bien entendu, l’arrêt du blog suppose pour la première fois – mais autrement, cela n’aurait aucun sens car tout continuerait – la fermeture des commentaires, ce qui est fait désormais.
Amicalement.
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mercredi, 04 mars 2009
Information
Dans quelque temps, je fermerai ce lieu. La date n’est pas encore fixée, mais l’échéance est définie : la deux-centième note s’intitulera Fermeture. Elle est d’ailleurs écrite depuis plusieurs semaines. Je dis cela aujourd’hui pour ne pas prendre les lecteurs par surprise car fermer le blog signifie qu’il ne sera plus possible d’écrire des commentaires (sans quoi, évidemment, fermer n’aurait plus de sens). Je pense que cet arrêt est rendu nécessaire par mon essoufflement et l’impossibilité dans laquelle je me trouve d’être davantage épaulé. Il faut être lucide : mes derniers articles ne sont pas très bons, il n’est donc pas indispensable de continuer. Poursuivre une activité quand elle ne satisfait plus grand-monde relève de l’idéologie jusqu’au-boutiste ou du journalisme pur et simple (je dois écrire un billet aujourd’hui, qu’est-ce que je vais pouvoir dire ?), dans lesquels je ne veux pas tomber. Ce carnet aura été tenu durant deux ans et demi environ. Pour le moment, je continue.
17:03 Publié dans Organisation du blog | Lien permanent | Commentaires (5)
mercredi, 17 décembre 2008
De la nature de ce lieu
« René Baer », « Avec le temps Léo Ferré partition », « Léo Ferré Avec le temps partition gratuit », « Léo Ferré Ina », « Armand Lunel », « Baudelaire et la mélancolie », « Chansons sur la banlieue », « Commission spoliations avocat », « Ferré Laforgue », « Figure d’espace by Jean Hélion », « Grooteclaes », « Jaquette Léo Ferré », « La Lune Léo Ferré », « La Tzigane Apollinaire étude », « Le Cabaret rive gauche éditions L’Archipel », « Le Canard enchaîné et Léo Ferré », « Le Piano du pauvre Ferré », « Léo Ferré traduction paroles anglaises », « Lucienne Ferré », « Léo Ferré ».
Ceci n’est pas un poème surréaliste ni une litanie thématique, mais le relevé du mois de décembre (arrêté à la date d’hier, le 16), des requêtes ayant abouti à ce blog, tel que me le livre Haut et Fort. Requêtes anonymes, bien entendu : j’ai uniquement rétabli l’orthographe et les capitales. Ces intitulés sont suivis de pourcentages, naturellement. Il est amusant de voir ce que peuvent bien chercher les internautes, que les moteurs renvoient vers ce lieu. Comment comprendre le cheminement qui fait aboutir à Léo Ferré, études et propos la question « Commission spoliations avocat » ? Chacun de ces trois mots a certainement été employé ici, depuis deux ans. Mais alors ? S’il ne s’agit que de mots-clefs, ceux-là peuvent se retrouver partout et dans toutes les acceptions…
C’est la première fois, depuis que j’utilise Haut et Fort pour l’un ou l’autre de mes blogs, que j’obtiens une liste aussi longue. Habituellement, on trouve, sans surprise, « Léo Ferré » avec ou sans majuscules, avec ou sans accents, « Avec le temps » ou « Perdrigal ». Apparemment, Haut et Fort présente désormais des capacités plus grandes. Ces résultats ne sont pas liés à l’introduction de la recherche, intégrée à la colonne de gauche ; ils portent uniquement sur les requêtes extérieures.
Ce qui est amusant, c’est que les pages lues, elles, sont toujours très variées ; leur liste montre par ailleurs que les lecteurs remontent volontiers dans le temps. Les statistiques chiffrées, elles, viennent corroborer cela car, si le nombre de visiteurs est ridiculement bas (je veux dire : par rapport aux possibilités d’ouverture qu’offre internet), le nombre de pages lues est la plupart du temps bien supérieur.
Sur deux années de parution, on lit encore tous les sujets. Cela pourrait indiquer que ce blog reste un lieu de référence, mais je n’en suis pas certain. D’abord par humilité, mais surtout parce qu’on sait bien qu’internet a toujours un côté ludique : il est fréquent qu’on aille voir des choses qui ne nous intéressent pas réellement ; on s’y rend par simple curiosité. Tout cela fait que je n’ai aucune vision réelle de la nature de ce lieu : qu’est-il, comment est-il perçu, quelle est son importance réelle, s’il en a une ?
15:14 Publié dans Organisation du blog | Lien permanent | Commentaires (5)
mardi, 16 décembre 2008
Boîte à outils
Ne reculant devant aucun investissement pour rendre son cabaret toujours plus accueillant, le taulier a fait installer, sur les conseils de l’officine spécialisée Dalmasso, un moteur de recherche que son aimable clientèle pourra trouver au bas de la colonne de gauche. La recherche s’effectue par mots-clés, évidemment, mais ne porte que sur les notes initiales, pas sur les commentaires. En dépit des frais engagés, le prix des consommations n’a pas été augmenté.
09:14 Publié dans Organisation du blog | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 10 novembre 2008
Deux ans d’échanges
Ainsi, ce lieu a aujourd’hui deux années d’existence. Son fonctionnement a été considérablement ralenti depuis un certain temps. J’ai toujours dit, en effet, que je ne publierais pas pour publier. Il se trouve que je n’ai plus grand-chose à dire : je ne peux pas ad aeternam écrire des textes à propos de Léo Ferré, même si mon admiration, ancienne, est constante et non démentie.
Deux ans. Comme d’habitude, il me semble que... c’était hier, comme on dit. Tout va trop vite.
Il m’a décidément été impossible, en dépit de mes demandes réitérées, de trouver de nouveaux auteurs, d’autres « invités du taulier ». Je le conçois fort bien : ce n’est pas parce que j’ai un jour ouvert un blog que tout le monde doit se précipiter pour m’aider. Donc, aucune amertume, pas d’acrimonie. Simplement, le rythme change, les parutions s’espacent. Mais on continue.
Amicalement à tous.
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lundi, 17 mars 2008
Pause de printemps
Le taulier part à la campagne pour un mois environ, pour raisons de santé. Ce lieu reste ouvert, les commentaires avec, s’il vous plaît d’en faire quelquefois.
Dans la mesure où il lui sera loisible de disposer d’internet, le taulier suivra tout cela avec attention.
La réouverture est prévue pour mi-avril, mais il se peut que de nouveaux textes soient publiés dans l’intervalle. Ne perdez pas l’adresse : ce lieu est le vôtre.
Amicalement.
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vendredi, 16 novembre 2007
Relâche
Le taulier ferme son cabaret durant les quelques jours de vacances qu’il a l’impudeur de s’octroyer. La réouverture aura lieu dimanche 25 novembre à zéro heure, avec des spectacles nouveaux qu’il part rechercher dans la campagne lotoise, spectacles dont il espère vivement qu’ils intéresseront son fidèle public. Une coupe de champagne virtuelle sera offerte à chacun.
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samedi, 10 novembre 2007
Un an d’échanges
Ce blog a donc aujourd’hui un an et, pour l’occasion, il s’orne d’une nouvelle bannière due aux soins de Patrick Dalmasso.
Je ne sais pas ce qu’il faut dresser comme bilan de cette année d’activité et d’échanges. Le faut-il seulement ? Je pensais, en ouvrant ce lieu, que davantage de participants accepteraient de m’aider à le faire vivre, afin qu’il ne devienne pas le blog du taulier mais celui de tous ; afin, surtout, pour conserver le maximum d’authenticité aux textes, de ne pas sacrifier à l’obligation de publier, ce que je n’ai encore jamais fait.
Je ne sais pas si le niveau espéré a bien été atteint, si le cap d’exigence a été maintenu. Chacun appréciera.
Merci, une fois encore, à ceux qui m’ont donné des notes… et merci d’avance à ceux qui voudront en rédiger à l’avenir. Merci enfin à ceux qui ont bien voulu participer aux discussions.
Amicalement à tous.
(photo Alain Bontemps)
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mardi, 21 août 2007
Réouverture prochaine du blog
Rien ne figure en ce moment en page d’accueil, car ce sont seulement les textes des trente et un derniers jours qui se trouvent à l’écran. Tout est cependant disponible par les divers moyens de recherche (archives, catégories et index).
Si vous en avez toujours envie, l’établissement rouvrira le 1er septembre prochain, comme toujours à zéro heure. Le taulier n’a pas fait grand-chose ces dernières semaines, mais un programme de rentrée est cependant prévu.
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dimanche, 15 juillet 2007
Le temps joli
Je m’en vais demain
Parcourir le monde
Et dans cette ronde
Je battrai des mains
Je ne sais la belle
Si je reviendrai
Tout ce que je sais
C’est ma ritournelle
(LES GRANDES VACANCES)
Le taulier et la taulière partent à la campagne pour quelque temps. Sans avoir internet à portée de la main, il leur sera difficile de faire vivre ce blog durant quelques semaines, mais les anciennes notes ne portent pas de date de péremption et les commentaires restent ouverts en permanence. En fonction des ordinateurs disponibles sur son chemin perdu dans les bois, l’affreux taulier fera son possible pour répondre et animer ce lieu, au moins de loin en loin. Les discussions reprendront, par conséquent, en septembre, si le cœur vous en dit. La date n’est pas encore fixée, mais ce sera toujours à minuit, l’heure des cabarets, que naîtront les chansons. Merci pour votre participation aux huit premiers mois d’existence de ce lieu. Amicalement à tous.
(Prospectus annonçant un récital au gymnase Joliot-Curie,
Le Plessis-Robinson, le 12 octobre 1985)
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vendredi, 29 juin 2007
Du mode de fonctionnement de ce lieu
Je pense devoir rappeler de quelle manière fonctionne ce lieu. Cela, d’ailleurs, n’était pas préconçu. Ces aspects se sont éclairés au fil des mois.
Je traite les sujets en fonction, évidemment, de mon désir de le faire à tel ou tel moment (ce qu’on nomme habituellement « inspiration ») ; de ma documentation, qui n’est pas infinie ; de la possibilité d’apprendre éventuellement, et avec beaucoup d’humilité, quelque chose à quelqu’un ; de la cohérence du propos au secours de laquelle j’appelle quelquefois les liens d’une note à l’autre.
L’actualité n’est jamais un critère puisque le fond, en principe, est prédominant ou tente de l’être.
D’une manière générale, je n’écris de textes que choisis par moi. J’ai reçu à plusieurs reprises des demandes auxquelles je n’ai pas accédé, le principe étant qu’on ne passe pas commande. Comprenons-nous, surtout : on ne passe pas commande non parce que je me tiens dans ma tour d’ivoire, mais pour la simple raison que je ne suis pas omniscient et n’ai pas forcément la capacité de traiter un sujet qui m’aura été suggéré. En revanche, j’accueille qui veut dans la catégorie « Les invités du taulier » : dans ce cas, l’auteur a carte blanche.
Concernant les textes nés de conversations privées avec des participants, et singulièrement avec The Owl, l’esprit est différent. Parfois, lorsque la discussion s’étoffe, prend une certaine ampleur, je me dis qu’elle est susceptible d’intéresser d’autres lecteurs : j’en tire alors une note. Certes, tout ce qui se rapporte à Léo Ferré m’intéresse, mais il y aussi une question d’opportunité. Lorsque le sujet n’est pas de mon choix, il ne me touche pas forcément à ce moment-là. Ainsi, je n’aurais pas envisagé de traiter des contestataires de Ferré : j’avais prévu un autre billet, que j’ai repoussé de quelques jours. Toutefois, même dans ces cas-là, je fais évidemment de mon mieux pour répondre aux interrogations des participants, quand je peux y parvenir.
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jeudi, 10 mai 2007
Six mois de paroles
Ce blog compte à présent six mois d’existence. À titre indicatif, la moyenne des visites mensuelles s’établit ainsi : 52 en novembre, 41 en décembre, 45 en janvier, 59 en février, 67 en mars, 57 en avril. Pour le moment, 59 au mois de mai.
Merci aux lecteurs, commentateurs et « invités du taulier ».
Amicalement.
(Photo Ouest-France, vers 1966)
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lundi, 19 mars 2007
Nouvelle pause
Je suis encore rattrapé par le temps et n’ai plus de notes d’avance. J’ai maintenu jusqu’à présent le rythme d’un texte tous les jours puis tous les deux jours, mais il n’est pas question d’écrire pour écrire. J’espérais pouvoir vous présenter un troisième « invité du taulier » mais il ne m’a pas encore adressé son texte. Une nouvelle pause s’avère nécessaire. J’espère qu’elle ne sera pas longue.
(Photo Ouest-France, 1966)
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vendredi, 23 février 2007
Pause
Pas de nouveau texte aujourd’hui. Je ne veux pas écrire à tout prix afin de publier à tout prix, ce qui est le danger des blogs.
J’ai constaté que la catégorie « Propos » devenait un fourre-tout et abritait finalement ce qui ne pouvait être classé ailleurs. Je l’ai donc subdivisée en plusieurs autres catégories : « Propos » demeure, mais est complété par « Lieux », « Personnages », « Recherche », « Souvenirs », « Spectacles et émissions » et « Organisation du blog ».
Non que j’éprouve un besoin absolu de tout découper en tranches, bien au contraire : je n’aime pas les étiquettes. Cependant, le blog compte déjà soixante-sept notes – celle-ci est la soixante-huitième – et cela pourra peut-être aider ceux qui le désireront à retrouver plus rapidement ce qu’ils cherchent.
Toutes les autres catégories demeurent inchangées.
(Photo Vic Novas)
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dimanche, 11 février 2007
Synthèse des trois premiers mois de fonctionnement de ce lieu
Il n’est évidemment pas question de rendre des comptes ni de singer la participation, mais je fais ci-après le point des premiers mois d’activité de Léo Ferré, études et propos.
Durant un mois et demi, les notes ont été quotidiennes ; elles ont ensuite paru un jour sur deux. Elles seront désormais moins régulières, afin de ne pas tomber dans l’obligation d’écrire coûte que coûte et n’importe quoi.
Les débuts de ce blog ont été lents, puis la vitesse de croisière est apparue, qui se situe actuellement à environ cinquante visiteurs par jour, parfois un peu plus, ce qui, évidemment, est dérisoire mais représente tout de même quelque chose puisqu’on ne trouve ici, sauf exception, pratiquement aucune image, aucune photographie et que, dans l’ensemble, le niveau des discussions est sérieux. Je m’efforce de rédiger les notes initiales dans un langage toujours clair mais on aura compris, je pense, qu’on ne trouvera aucune concession à la facilité ou à la mièvrerie, moins encore à l’insignifiance. C’est plutôt l’austérité qui serait recherchée.
Je n’ai eu que quelques retours, peu, en privé. Dans l’ensemble, ces correspondants se montraient satisfaits de ce qu’on pouvait lire dans ces pages. Je rappelle que figurent à l’écran les textes des trente et un derniers jours et que l’on peut accéder aux précédents par les archives : la page d’accueil n’est pas tout. Les commentaires sont ouverts en permanence et constituent une invitation constante à l’échange, à l’élargissement du débat. Je m’efforce, dans l’ensemble, de répondre à chacun et de le faire le plus rapidement possible. Toutefois, ainsi que je le disais en commençant, je n’ai pas la vérité révélée.
Je n’ai évidemment aucune idée de qui visite ce lieu. Je ne comprends pas pourquoi ce blog, qui n’est entravé par aucune forme d’accès réservé, n’est toujours pas référencé chez Google. Aucune recherche par mots-clefs n’aboutit ici. Cela n’est pas très grave, mais j’aimerais qu’on puisse aller plus loin que le noyau des commentateurs fidèles, que je remercie par ailleurs de leur intérêt. Les statistiques (anonymes, bien sûr) de Haut et Fort, pour autant qu’elles soient fiables, indiquent que, parmi ceux qui viennent ici autrement que par l’adresse directe, la plus grande partie arrive par les liens créés en novembre dernier sur la page d’actualité du site officiel. Je m’y attendais un peu, c’est vrai. Cependant, j’avais aussi averti de l’ouverture un bon nombre de personnes figurant dans mon propre carnet d’adresses. Les liens que j’ai créés sur les autres sites et blogs que j’anime n’occupent qu’une part plutôt faible des statistiques. Enfin, quelques amis rencontrés virtuellement ici et là sur la Toile ont eu l’amabilité de mettre ce blog en lien, qu’ils soient eux aussi remerciés.
S’agissant des collaborateurs extérieurs dits « Les invités du taulier », j’espère pouvoir en accueillir de nouveaux. À ce jour, seul Jacques Miquel a donné suite à ma proposition de rédaction de notes, les autres ayant décliné mon invitation. Je regrette leur décision et espère qu’ils voudront bien changer d’avis. Certains, enfin, m’enverront plus tard, m’ont-ils dit, des textes à publier. Les sujets promettent d’être intéressants.
Il est donc possible, dans l’ensemble, de parler sérieusement de Léo Ferré sur internet. Depuis trois mois, on ne s’est pas invectivé, on est resté dans le sujet et l’on a échangé des propos d’un niveau sans commune mesure avec les inepties ayant souvent cours sur la Toile, quel que soit le thème. On continuera donc, sans la moindre auto-satisfaction.
Amicalement, et en toute humilité.
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vendredi, 10 novembre 2006
Ouverture
Ce lieu, créé le 10 novembre 2006, est destiné à la publication d’études et à l’échange de propos d’ordre littéraire et artistique au sujet de Léo Ferré et de son travail. En cela, il ne désire faire concurrence à aucun autre site. En page principale, figurent les notes des trente et un jours précédents. On peut ensuite remonter dans le temps par la consultation des archives mensuelles.
L’auteur espère que les contenus et les commentaires se caractériseront par un esprit de sérieux et de recherche, sans qu’on puisse les considérer comme une vérité révélée.
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jeudi, 09 novembre 2006
Index alphabétique des notes publiées
-
- CATÉGORIES
-
- ARTICLES
Ah, ça ira- Aimer Ferré
- Aimez-vous Prévert ?
- À la recherche de Guillaume
- Amical bonsoir
- Année 1970 (L')
- À propos de Cecco, par Jacques Miquel
- À propos de L'Été s'en fout
- À propos de Ma vieille branche
- À propos des premières chansons enregistrées
- À propos du Chemin d'enfer
- À propos du grand-œuvre
- À propos d'une émission de 1950
- À propos du souvenir
- À propos d'un texte antimilitariste
- Armand Lunel le méconnu (1892-1977) par Francis Delval
- Articles d'Edmée Santy (Les)
- Aspects de la recherche musicale
- Aspects de la recherche régionale
- Aspects de la recherche universitaire, II
- Au salon du Livre
- Authenticité
- Avec Luc Bérimont, 1/4
- Avec Luc Bérimont, 2/4
- Avec Luc Bérimont, 3/4
- Avec Luc Bérimont, 4/4
- Aznavour
- Bac blanc
- Banlieue-sur-Love
- Benoît Misère, histoire d'un livre
- Blessure et la source (La)
- Boîte à outils
- Bons baisers de Tahiti
- Censure à la radio
- « Cent vingt-et-un moins moi » (Léo Ferré, Mon programme, 1969), par Francis Delval
- Ce qu'on disait du récital donné à Bobino en 1967
- « C'est Jean Cardon, vedette Odéon, à...
- « C'est pas moi… »
- Cet air qu'on cherche, 1/4
- Cet air qu'on cherche, 2/4
- Cet air qu'on cherche, 3/4
- Cet air qu'on cherche, 4/4
- Chanter Apollinaire
- Chanter Baudelaire
- Château de Perdrigal (Le)
- Chercher le style
- Chez le disquaire
- Chose rurale dans l'œuvre de Ferré (La)
- Comme dirait Léo Ferré
- Comment la presse reçut le spectacle de 1954 à l'Opéra de Monte-Carlo
- Contester Ferré
- Contourner l'obstacle
- Corbière, Laforgue et Ferré, par Francis Delval
- Couleurs d'aimer
- Da capo
- Dans la nuit de Bobigny
- Dans la presse de 1957 à 2005
- Dans les revues des années 60
- Dans les revues des années 70
- Dans les revues littéraires des années 80
- Dĕkuji ti, Ferré ! (ou Ferré traduit en tchèque), par Daniel Dalla Guarda
- De la durée comme sens
- De la nature de ce lieu
- De la noirceur
- De la reconnaissance
- De la terre à la lune
- De la vie au soleil
- De l'imitation
- De l'utopie
- Demandez le programme !
- De Méjean à Castanier
- Dernières années (Les)
- Des musiques pour Verlaine
- Des odeurs dans Benoît Misère
- Des « périodes »
- Deux ans d'échanges
- Dommage
- Du contresens et des interprètes
- Du mode de fonctionnement de ce lieu
- Du portrait à l'épure
- Du public et de l'âge
- En Angleterre
- Encore Prévert
- En écho
- En solitaire
- Evocation ou Une histoire avec des si
- Fermeture
- Ferré 1984, histoire d'un enregistrement
- Ferré au Who's who
- Ferré dans les anthologies de poésie
- Ferré dans les dictionnaires et les encyclopédies
- Ferré et les écrivains
- Ferré, qu'est-ce que c'est ?
- Ferré-sur-Seine
- Forme épistolaire, l'adresse, l'apostrophe, la dédicace (La)
- Gaby de l'Arlequin
- Gala pour Popaul
- Gilbert Sigaux
- Glose sur une préface
- Gourdon, 11 juillet 1985, par Jacques Miquel
- Grands spectres (Les)
- Habitude (L')
- Homosexualité sous le regard de Ferré (L')
- Hubert Grooteclaes en mélancolie (extrait)
- Il y a quinze ans
- Il y a quinze ans, II
- Imprimatur, I
- Imprimatur, II
- Imprimatur, III
- Imprimatur, IV
- Information
- Instantanés de la vie de René Baer, par Jacques Miquel
- Jalons pour une future biographie de Léo Ferré
- Jamblan « le doux chansonnier », par Jacques Miquel
- Joseph Ferré
- Langue anglaise (La)
- Langue de Léo Ferré (La)
- Langue en accordéon (La)
- « La rue, c'est bath, c'est bath, c'est bath »
- Léo Ferré acteur et musicien du cinéma : nouveaux éléments
- Léo Ferré et les philosophes, par Francis Delval
- Léo Ferré et les surréalistes : nouveaux éléments
- Léo Ferré et les surréalistes : encore de nouveaux éléments
- Léo Ferré et les surréalistes : encore une découverte
- Léo Ferré lecteur de Sartre, par Francis Delval
- Léo Ferré, les années-galaxie, histoire d'un livre
- Lettres d'amour
- Lettres non postées, un livre rêvé (Les)
- Lucienne Ferré, épouse Bergeron
- Ma mélancolie sera ton spleen et ma tristesse, ton désespoir
- Mémoire et la nuit (La)
- Mme Ferré mère parle
- Miserere
- Monsieur Tout-Chant
- Mouvement narratif chez Léo Ferré (Le)
- Musique, la tomate et le hibou (La)
- Notion de « texte intégral » (La)
- Nouvelle pause
- Odette Schunck, épouse Ferré
- Ogre et le chien (L’)
- Œuvres de Léonid Sabaniev (1881-1968), par Jacques Miquel
- Opéra des rats, un spectacle du Toursky (L’)
- Ouverture
- Pain retrouvé (Le)
- Pain retrouvé (Le), II : de la re-sémantisation
- Pain retrouvé (Le), III : la mise en musique par...
- Pause
- Pause de printemps
- Pendant la Seconde Guerre mondiale
- Pierre Mac Orlan et « l'affaire Villon », 1/3
- Pierre Mac Orlan et « l'affaire Villon », 2/3
- Pierre Mac Orlan et « l'affaire Villon », 3/3
- Poinçonneur c'est extra (Le)
- Préfacier (Le)
- Préparation du spectacle de 1954 à l'Opéra de Monte-Carlo (La)
- Presse et la mort (La)
- Question d'oreille
- Récital de 1955 à l'Olympia (Le)
- Récital Place des Arts à Montréal, mars 1974,...
- Reconstitution
- Réouverture prochaine du blog
- Relâche
- Relève (La)
- Samouraï (Le)
- Site de l'INA (Le)
- Six mois de paroles
- « Sous l'arc copain où je m'aveugle »
- Sur la prose de Ferré à partir de 1980
- Sur la scène toulousaine, par Jacques Miquel 1/3
- Sur la scène toulousaine, par Jacques Miquel 2/3
- Sur la scène toulousaine, par Jacques Miquel 3/3
- Sur un texte de 1960
- Synthèse des trois premiers mois de...
- Temps joli (Le)
- Tentative de reconstitution du boulevard Pershing
- The môme (La)
- Tout en haut de l'échelle
- Tout finit à la République
- Trois amis et les pops
- Trois aspects de la recherche universitaire
- Trois jeunes timides
- Un an d'échanges
- Un documentaire de Sandrine Dumarais
- Un élève et des disques
- Une opinion sur la musique de Ferré pour Apollinaire
- Une chanson à variantes
- Une conversation avec The Owl
- Une leçon de ferrémuche
- Une leçon de ferrémuche, II
- Une opinion de Gracq sur Breton
- Une question d'interprétation
- Un OVNI artistique
- Un point non éclairci
- Un spectateur indiscret
- Veine chansonnière (La)
- Visiteuses (Les)
- Vocabulaire religieux (Le)
- Voix, le chant, la diction et la musique (La)
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